Cherepaka

« La sincérité nue d’Andréane Leclerc, la sobriété stricte de sa mise en scène et l'atmosphère lumineuse et sonore qui semble jaillir du corps de l'artiste, clouent le public à la chaise pour respirer avec elle et avec elle frôler le désespoir. »
Jordi Jané, Serra d’Or #662, 2015 – Barcelone

Statut
disponible à la tournée

Année de création
2014

Durée
55 minutes

Cherepaka signifie tortue en russe. Composée d’une carapace et de chair, la Tortue porte en elle la dualité entre l’éternité et l’éphémérité. Cherepaka dépeint la mort d’une tortue et fait écho à la tension qui habite l’être humain entre sa quête d’infini et la mortalité de sa chair animale.

Inspiré des tableaux de Francis Bacon et de la « logique de la sensation » de Deleuze, cet essai conçu comme un tableau cherche à stimuler l’imaginaire du spectateur grâce à une écriture scénique basée sur une réinterprétation de la technique de contorsion.